Maison d'Eiko

Eiko avait la chance d'avoir des parents aisés. De ce fait ils lui avaient loué une maison plutot spacieuse pour une seule personne il est vrai. Mais il n'avait pas le choix, ces parents décident, il n'avait pas le droit de dire un mot.
Cette maison était éloignée du centre ville, non pas pour la tranquilité mais pour qu'Eiko ne soit pas proche des gens. Autour de lui un paysage vide de toute vie à part peut être une maison, plain-pied, adossée à une sorte de colline. Il ne savait pas si elle était habitée mais de toute façon ses parents lui aviaent demandé de ne pas parler au voisinage.

Bref Eiko vivait dans une maison que tout le monde rêverait d'avoir sauf lui. A l'abris de tout regard, pour seul compagnie le chant apaisant des oiseaux et les quelques animaux sauvages qui s'aventuraient sur le terrain.

Visite de la propriété :
Un assez grand jardin entretenu par un jardinier venant une fois par semaine. Un petit chemin de pierre mène à la batisse. Une porte en bois s'ouvre donnant sur un grand hall. quelques fauteils, des tableaux, des miroirs, une mini fontaine dont le bruit apaisant donnéune atmosphère toute particulière à ce lieu. Sur la gauche un salon pouvant acceuillir une bonne dizaine de personne sans trop se serrer, l'ambiance y était très exotique et fleurie. A droite la cuisine, il ne pouvait pas y entré. Vivait la une cuisinière et son mari. Il ne l'aura jamais vu les plats arrivés par un passe plat et était signalé par une clochette.
A l'étage chambres et salles de bains pour lui et de nombreux convives.
Tout cela dans une architecture et une décoration très stylisées et d'une grande richesse.

Bref Eiko s'ennuyait à mourir dans ce lieu.

Eiko était chez lui ce soir la, dans son salon.

Il lisait un livre, il n'avait rien d'autres à faire.
Tout ce silence qui devait être reposant lui tapper sur les nerfs, le seul moyen qu'il aviat de s'évader était de lire des livres.
Un moment il jettera un coup d'oeil par la fenêtre, il verra de la lumière dans la maison à l'autre bout de son terrain, il avait bien des voisins.

Il replongera dans son livre et finira par s'endormir.